Les nouveaux aventuriers du Cèdre
En ce début d’année, nous avons souhaité laisser la parole aux 12 aventuriers qui ont rejoint le Cèdre en 2015.
Pourquoi ? Parce que c’est sympa de présenter les acteurs de notre aventure et, en plus, les derniers arrivés ont un regard neuf sur l’entreprise… Nous avons posé à chacun les trois mêmes questions : D’où viens-tu et pourquoi le Cèdre ? Qu’est-ce qui t’a le plus surpris(e) en arrivant au Cèdre ? Quel est ton originalité personnelle ? Voici donc leurs réponses :
Benoît Douay (35 ans) – “Je suis francilien de naissance et nordiste de cœur, c’est ce qui explique un de mes grains de folie : tremper ma tartine de maroilles dans mon café du matin ! J’ai évolué dans la prestation de service en restauration et les services aux entreprises avant de rejoindre le Cèdre. Après plusieurs candidatures spontanées, je pousse enfin la porte du Cèdre, comme chargé de suivi en restauration. J’ai tout d'abord été marqué par la bienveillance réelle de chacun, qui n'était certainement pas une attitude de façade. J'ai aussi été interpellé par la folie de la direction, qui proposait à mon arrivée un atelier de réflexion sur la reconnaissance et la rémunération… ce n’est pas ce qu’il y a de plus courant dans les entreprises.”
Nathalie Millet (45 ans) – “ Je viens de l’industrie et j’ai choisi de postuler au Cèdre, en tant qu’assistante marchés, pour les valeurs véhiculées. Après quelques mois au siège, je pense pouvoir dire que c’est l’humanisme, le respect de l’autre, qui m’ont le plus marquée. Cela se décline concrètement en gentillesse et disponibilité des salariés mais aussi des adhérents. Ma passion m’emmène vers les profondeurs, puisque j’aime plonger au milieu des requins… mais sans cage !”
Clément Nicot (32 ans) – “J’ai une formation commerciale et je viens du monde de l’édition. Je suis arrivé au Cèdre parce que mon père a pensé à moi en voyant une annonce pour le recrutement d’un chef de marchés… merci papa ! En réalité, je cherchais du travail en province (Lyon, Bordeaux…), mais de là à atterrir à Paray le Monial, il y avait un grand saut que j’ai finalement osé franchir. Ma première surprise fut de constater le lien particulier que le Cèdre a avec ses adhérents. Même quand il y a un litige, la confiance est toujours plus forte que le litige ! J’ai deux rêves un peu fous et qui n’ont rien à voir : j’aimerais pouvoir m’acheter une montre chaque jour et je rêverais me rendre sur les îles Kerguelen et les îles Amsterdam…”
Charlène Smaili (29 ans) – “ J’ai eu une première expérience professionnelle dans une entreprise de nettoyage, avant de connaître le Cèdre grâce à pôle emploi. C’est l’intitulé du poste qui m’a attirée. En arrivant comme assistante marchés, j’ai tout d’abord été surprise par la qualité de l’accueil. Chacun se souciait de voir si j’étais bien accueillie. Mon originalité est de ne pas avoir de passion, ni de folie.”
Camille Mathé (41 ans) – “Je suis ici sur mes terres. J’ai choisi le Cèdre pour son dynamisme et sa proximité. C’est étonnant, ici tout le monde se dit bonjour et se sourit… il y a une réelle convivialité. En plus, on a une vraie autonomie dans le travail, la confiance est accordée d’emblée. Quand je quitte mon rôle d’assistante marchés, ma passion est d’offrir des cadeaux personnalisés faits mains. Pour cela je fais du sur-mesure en scrabbooking, mosaïque, couture…”
Valentine Aurousseau (34 ans) – “ Avant d’intégrer le Cèdre, j’ai travaillé dans un bureau d’études. Après une première candidature et un premier entretien il y a deux ans, j’ai re-tenté ma chance pour rejoindre le Cèdre en mai dernier en qualité d’assistante marchés. J’ai été un peu étonnée de voir qu’au Cèdre on nous laisse le droit d’exprimer nos idées et de les mettre en oeuvre… On nous demande même notre avis ! Le week-end, j’aime particulièrement faire du quad dans les bois avec mes enfants (un devant et un derrière).”
Clotilde Droin (52 ans) – “ Je suis parisienne et professionnellement, j’ai toujours évolué dans le monde des achats. Mon arrivée ici est un peu une histoire de coeur : le Cèdre est une entreprise qui correspond à mon coeur de métier et à mon métier de coeur ! Le plus étonnant pour moi en arrivant fut de constater la liberté de parole et d’action qui est laissée aux équipes. Je ressens au Cèdre une vraie colonne centrale, résolue et présente, et en même temps une grande souplesse. En participant à mon premier séminaire en septembre dernier, j’avais l’impression un peu étrange d’être à une réunion familiale. Mon petit grain de folie est plutôt un pépin, puisque je suis passionnée par les citronniers. J’en ai deux dans mon salon, je leur parle, les bichonne et récolte, bien sûr, les fruits. Ce sont des arbres étonnants, ils portent en permanence et en même temps des fleurs et des fruits…”
Bruno Tricot (61 ans) – “ D’origine normande, je suis passé par l’informatique et la création graphique avant de poser mes valises à Paray le Monial et de rejoindre le Cèdre pour assister le service informatique et communication. En arrivant, je suis d’abord frappé par le flot de paroles… pas étonnant, si on donne la possibilité aux gens de s’exprimer, qu’ils le fassent ! Je suis assez timide, donc après un temps d’adaptation, je me sens plus à l’aise et je retrouve ici l’ambiance familiale que j’ai déjà pu connaître dans d’autres entreprises. Dès que j’en aurais un peu le temps, je reprendrais la sculpture.”
Paul Bévillard (30 ans) – “Je viens juste de finir mes études à rallonge, après un passage au monastère… Ce qui m’a attiré au Cèdre, particulièrement dans le métier de délégué régional, c’est à la fois la richesse (dans le sens diversité) et l’autonomie du “DR”. Ce qui me frappe, à chaque fois que je viens au siège, c’est l’esprit de famille. Cet esprit se retrouve aussi dans la relation avec nos adhérents et, dans une autre mesure, aussi dans la relation avec les fournisseurs. Je n’ai pas une passion mais plusieurs. Si je le pouvais je me laisserai passionner par tout ! En fait, je fais de l’apiculture, de l’alpinisme, de la moto, de la boxe, de la guitare…”
Edouard Ribereau-Gayon (39 ans) – “J’ai fait mes armes dans l’emballage industriel, avant d’être à mon tour emballé par le Cèdre, que j’ai choisi pour donner du sens à mon travail. Ma surprise en arrivant, comme délégué régional, fut d’abord de constater qu’on donne beaucoup la parole aux collaborateurs, ensuite je me suis vite rendu compte que “ça fuse” au Cèdre. En effet, il y a beaucoup d’idées, d’initiatives et chaque réunion à laquelle je participe est organisée différemment, avec beaucoup d’inventivité. Enfin, mon petit grain de folie est vestimentaire, je l’avoue : j’aime les pantalons de couleur.”
Anne-Stylite Dubost (24 ans) – “J’arrive tout droit de Bretagne après avoir terminé mes études de graphisme. Mon grain de folie se voit au premier coup d’oeil : les chaussures bizarres. Sinon, j’aime beaucoup rire : une journée sans rire est une journée ratée. En arrivant dans l’entreprise, j’ai été surprise par l’entente des personnes dans mon équipe et par la facilité d’expression de chacun. Même jeune diplômée, je me suis tout de suite sentie autorisée à donner mon avis…”
Daniel Walter (50 ans) – “ Je viens d’un autre monde : j’étais complètement à l’ouest (la Vendée) pour me recentrer en Bourgogne, et je dirigeais une maison de retraite avant de me retrouver chef de marchés. J’ai souhaité venir au Cèdre pour découvrir un nouveau secteur d’activité et une nouvelle façon de travailler. J’ai tout de suite été rassuré et encouragé par la qualité de l’accueil sincère et par le fait de me sentir attendu. Ce qui me surprend le plus c’est l’absence de segmentation hiérarchique formalisée visible. Sinon, j’ai un rêve : poursuivre en famille le chemin de St Jacques de Compostelle avec un cheval, c’est une aventure simple, qui coupe du rythme quotidien.”
Voilà... La diversité des personnes, des caractères, des parcours, des âges sont autant d'atouts pour décliner notre projet d'entreprise en aventure passionnante... C'est promis, dorénavant, nous vous présenterons les nouveaux arrivants au fil de l'eau !
Commentaires
2 Commentaires
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Bien que n’ayant qu’un bref passage de qq mois au Cèdre avant d’embrasser un nouveau projet de chef d’entreprise, je partage unanimement les commentaires des p’tits nouveaux quand à la singularité de l’accueil, de l’écoute et du management bienveillant de cette belle, TRES BELLE entreprise qui j’espère gardera l’esprit insufflé par son fondateur. Merci Eric et merci à tous pour votre gentillesse encore bien présente dans mes pensées.
Thierry Musset
merci Joséphine, bon feeling !